• Ce soir, j'avais juste besoin d'un peu de tendresse à vous faire partager...

    Bien entendu, la tendresse peut se traduire de diverses façons,
    j'avoue avoir un faible pour celle-ci... nous sommes le 22, à 22h...



    Bye

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  • Hier soir, alors que j’étais sur le point de sombrer dans les bras de...
    Morphée (heureusement qu’il est là lui…) j’ai vécu une sorte
    d’e-XP-érience temporelle… Da
    ns cet état si agréable de semi   conscience où la pensée dérive au fil de nos délires, j’ai rêvé de ce
    petit carré de vie où je m’épanche au long des jours - mon blog quoi ! -
    subitement, à ses couleurs, se sont superposées des images surgies
    d’un passé lointain.

     

    Moi qui croyais, dans ma p’tite tête, avoir choisi au hasard les couleurs de mon blog,
    j’me suis pris une grande claque en réalisant qu’en fait, tous nos choix devaient être
    guidés par notre passé ! (ouf, hard en dormant ça…)

     

    e-XP-plication :

    Je me suis revue dans une salle de classe accueillante et lumineuse installée devant
    un autre écran d’ordinateur.

     

    Là, je passe dans une autre dimension que les moins de vingt ans ne peuvent
    pas connaître, un peu comme quand les Twixs s’appelaient Raider et que
    Yannick Noah jouait au tennis (mais si c’est vrai !)

     

    C’est ordinateur s’appelait un XP.
    Non, non, pas Windows XP, XP tout court !

    Après avoir attendu ¼ d’heure qu’il s’initialise, son écran noir nous faisait un clin d’œil de son curseur vert clignotant (y en avait en blanc et en orange aussi, mais c’est le vert qui a dû me marquer) 
    En ce temps là, on travaillait uniquement sous dos (MS Dos quand même, Macro’Softy existait déjà) Les disques durs étaient tout riquiquis et les disquettes faisaient office de clé USB. Le meilleur traitement de texte s’appelait Word Perfect et les touches de fonctions y étaient incontournables. Surtout y fallait vraiment tout apprendre et tout retenir, dur, dur, pas d'icône ou autre bouton et rares étaient les souris.

    Mais on se plaignaient pas, d
    ’abord !
    C’était bien mieux que les machines à écrire, même électriques,
    qui nous cassaient les oreilles et nous meurtrissaient les doigts.
    Mes petites menottes (si, si, elles sont vraiment petites) disaient merci à cet ordi !

     

    C’est à ce moment que je me suis demandée à quand ça pouvait bien remonter.
    C’était quand ça ??? 
    Et alors ça..., ça m’a réveillée !!!






     


    Bye


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  • Après l’arc-en-ciel revient toujours la pluie… ¯

    D’habitude, j’aime mieux me dire l’inverse, mais aujourd’hui pas moyen…

    Quand tout a trop pétillé pendant quelques temps, c’est dur de retomber
    dans
     le calme plat, trop plat, extra-plat, ultra-plat, hyper-plat et de me laisser
    juste m’abîmer avec vous !
    ¯

     

    Quand le moral tombe dans les chaussettes – noires – ça devient difficile de
    se dire que la vie n’est qu’un jeu pour moi !
    ¯

     

    Dites-moi plutôt que je dé-blog, allô, le monde ? ¯ je suis aussi en manque de
    vos commentaires…

     

    Par dessus le marché, François (Duval) va faire le rallye d’Ypres en juin prochain
    et j’saurais même pÔ y aller…

    Pour couronner le tout, j’ai mes places pour Mozart l’Opéra Rock à Forest National,
    mais le 1er mai 2010, c’est si loin… encore 353 dodos avant de voir et d’entendre
    Mikelangelo Loconte en live… même si notre vie défile en l’espace d’un soupir …
    ¯

     

    Je biaise m’allez-vous dire… - je biaise, je biaise, c’est vite dit, ou pas souvent alors… D’ailleurs, ma vie sentimentale est un désert à-rides (si, si, quelques unes) même
    les cactus du monde entier se cassent, je me suis bien piquée pour le savoir
    ¯,
    restent juste quelques scorpions amoureux
    ¯ - et encore – j’me plains, car si je suis
    loin d’être sex-agénaire, je ne génère plus grand chose en ce moment…

     

    Alors, au lieu d’aller m’enfermer à double tours dans ma cave et me demander

    si mon verre est au ¼ plein ou au ¾ vide, pschiiittt, je m’ouvre un p’tit cola –

    light pour la bonne conscience - j’y ajoute une rondelle d’orange et quelques

    cubes de glaces, je m’imagine en Italie sur une plage de l’Adriatique et puis…

    j’rêve les yeux ouverts… ¯

     

    Ca fera peut être l’affaire pour retrouver le goût du bonheur… quoique …



    Allons bon, puisqu’y fô vraiment que tout finisse mal aujourd’hui…  Amen !

    Discographie :
                              ¯ Judy Garland – Over the rainbow
      


                                       ¯ Garou – Le calme plat

                               
    ¯ Les chaussettes noires – Daniella


                             
    ¯ Pauline - Allô le monde


                             
    ¯ Mikelangelo Loconte / Florent Mothe - Vivre à en crever
    Eux, y valent bien une petite vidéo non ?

                               
    ¯ Jacques Dutronc - Les Cactus

                               ¯ Scorpions - Still loving you


                               ¯ Enzo-Enzo - Je rêve les yeux ouverts


    Bye


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  • Maman, c’est (souvent) le premier mot que l’on prononce, celui qui
    représente
    la sécurité, le réconfort et l’amour (oui, d’accord, Papa aussi !)

    Au Ve siècle, à Rome, on fêtait déjà les femmes et les mères au mois
    de juin.
    Même si les dates diffèrent dans tous les pays, cette fête reste
    la plus noble.
    C’est donc ce 10 mai 2009 que je souhaite une bonne
    et heureuse Fête des Mères à toutes les Mamans de Belgique.
    Pour les Françaises, un peu de patience !

     

    La mienne étant partie trop tôt (c’est toujours trop tôt) je souhaite lui rendre
    ici un petit hommage avec la chanson qui reste dans ma mémoire comme
    un des plus beaux souvenirs qu’elle m’a laissés.

    Voici encore quelques mots que d’autres ont écrits bien mieux
    que je ne saurais le faire avec ma cervelle de piaf…

     
    Larmes de femmes

    Un petit garçon demande à sa mère:

    « Pourquoi pleures-tu Maman ? »

    « Parce que je suis une femme » lui répond-elle.

    « Je ne comprends pas » dit-il.

    Sa mère l’étreint et lui dit : « Et jamais tu ne réussiras »

    Plus tard le petit garçon demanda à son père :

    « Pourquoi maman pleure-t-elle ?

    « Toutes les femmes pleurent parfois sans raison »,

    fut tout ce que son père put lui dire.

    Devenu adulte, il demanda à Dieu :

    « Seigneur, pourquoi les femmes pleurent elles aussi facilement ? »

     Voici sa réponse :

    « Quand j’ai fait la femme, elle devait être spéciale.

    J’ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde …

    Et assez douces pour être confortables.

    Je lui ai donné la force de donner la vie,

    Celle d’accepter le rejet, je lui ai donné la force pour lui permettre

    de continuer quand tout le monde abandonne.

    Celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue.

    Je lui ai donné la sensibilité pour aimer d’un amour inconditionnel,

    même quand elle est blessée durement.

    Je lui ai donné la force de supporter ses proches dans leurs défauts

    Et de demeurer à leurs côtés sans faiblir.

    Et finalement, je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.

    Tu vois, la beauté d’une femme n’est pas dans les vêtements qu’elle porte,
    Ni dans son visage, ou dans sa façon de se coiffer.

    La beauté de la femme réside dans ses yeux.

    C’est la porte d’entrée de son coeur; la porte où l’amour réside.

    Et c’est souvent par ses larmes que tu vois passer son cœur. »

     



    Je vous avouerai pour conclure que je n’ai
    qu’un seul regret, c’est que personne ne
    m’appellera jamais Maman …




    (Maintenant que j’ai bien plombé l’ambiance, je vous laisse…)

     














    Bye


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  • Un bien grand mot pour représenter tant de choses…

     

    La nostalgie en fait partie.

     

    Mistral Gagnant étant une de mes chansons préférées, je me souviens du
    goût des carambars d’antan.
    Pour moi, c’était plutôt cuberdons, bonbons à la violette et cubes aux ananas.

     


    C’est magique à quel point une saveur peut raviver la mémoire enfuie au plus
    profond du cœur. Un peu comme ces parfums si particuliers qui nous ramènent
    à l’enfance, le souvenir de ces bonbons m’apporte par flash des images que
    je croyais oubliées.

     

    Sublime présent, récompense offerte avec amour par ma grand’mère.

    Gourmandises d’enfants qui se dégustaient autant pour leur succulence que
    pour le parfum qui en émanait.

    Partage de réconfort entre ados un peu désemparées dans une cours d’école
    trop grande pour nous et où les autres semblaient tous étrangers.

     

    Tous ses souvenirs ressurgissent d’un passé nostalgique et pourtant, si,
    c’est un vrai bonheur…

     

    Suite au prochain numéro… 

     

    Bye


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