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Par Yentl le 26 Juin 2009 à 13:14
A l’heure où des personnages connus nous quittent, d’autres partent, anonymes…
On ne va pas en parler dans les journaux, ni entendre leurs voix sur toutes les radios et pourtant ils ont beaucoup plus de valeur aux yeux de leurs proches et la peine ressentie est bien plus profonde.
Comme on dit, le plus difficile, c’est pour ceux qui restent. Les fleurs fanent et disparaissent mais leur parfum reste toujours avec nous, tout comme les absents restent dans nos pensées et dans nos cœurs.
La souffrance partagée est-elle moins lourde à porter ?
On se sent bien impuissant devant le malheur des autres, ça semble dérisoire d’essayer de leur apporter un peu de réconfort, on ne sait que dire ni que faire.
Alors, en ces bien tristes jours qu’un ami traverse, je me contenterai de publier ceci…
You Are Not Alone
Tu N'es Pas Seul
Another day has gone
Un autre jour se termine
I'm still all alone
Je suis encore tout seul
How could this be
Comment cela se fait-il
You're not here with me
Que tu ne sois pas ici avec moi
You never said goodbye
Tu ne dis jamais 'au revoir'
Someone tell me why
Quelqu'un m'a dit pourquoi
Did you have to go
Mais étais-tu obligée de partir
And leave my world so cold
Et de laisser mon monde si froid
Everyday I sit and ask myself
Chaque jour je m'assois et je me demande
How did love slip away
Comment l'amour a pu disparaître
Something whispers in my ear and says
Quelque chose me murmure à l'oreille et me dit :
[Chorus]
[Refrain]
You are not alone
Tu n'es pas seul
I am here with you
Je suis là avec toi
Though you're far away
Bien que tu sois loin
I am here to stay
Je suis là pour y rester
You are not alone
Tu n'es pas seul
I am here with you
Je suis là avec toi
Though we're far apart
Bien que nous soyons loin
You're always in my heart
Tu es toujours dans mon cœur
You are not alone
Tu n'es pas seul
'Lone, 'lone
Seul, seul
Why, 'lone
Pourquoi, seul
Just the other night
Justement la nuit dernière
I thought I heard you cry
J'ai pensé que je t'entendais pleurer
Asking me to come
Me demandant de venir
And hold you in my arms
Et de te prendre dans mes bras
I can hear your prayers
Je peux entendre tes prières
Your burdens I will bear
Ton fardeau je porterai
But first I need your hand
Mais d'abord j'ai besoin de ta main
Then forever can begin
Et alors l'éternité peut commencer
Everyday I sit and ask myself
Chaque jour je m'assois et je me demande
How did love slip away
Comment l'amour a pu disparaître
Something whispers in my ear and says
Quelque chose me murmure à l'oreille et me dit :
[Chorus]
[Refrain]
Whisper three words and I'll come running
Murmure trois mots et j'accourrai
And girl you know that I'll be there
Et ma chère tu sais que je serai là
I'll be there
Je serai là
[Chorus] (x2)
[Refrain] (x2)
You are not alone...
Tu n'es pas seul...
Courage Yves...
Bye
8 commentaires -
Par Yentl le 25 Juin 2009 à 21:53
Tout le monde en parle, les premiers sont déjà partis et les autres peaufinent leur départ. Enfin ça y est, les vacances d’été ont commencé. C’est à qui part en avion, en bateau, en car, en voiture ou en triporteur.… Voyages lointains et soleil assuré pour les plus chanceux, les autres se contenterons de re-visiter leur région, au menu pic-nique en famille, barbecues entre amis et farniente.
La télé aussi se met à l’heure d’été, séries à la noix jusqu’à 22h puis films de 145 min se terminant le lendemain, pratique quand on se lève dès poltrons-minets ((jeu de mot de mauvais aloi discrédité par Maître Capello… s'explique du fait que quand mon chien est levé, il fait peur aux chats…, quand je vous dis que j’ai besoin de vacance…)
Même vos blogs partent en vacance, et pour le coup les soirées ne sont plus aussi net… (jeu de mot de bon aloi accrédité par Maître Capello Junior) Je surfe comme une âme en peine de commentaire, qui suis-je, où vais-je, dans quel état j’ère... (jeu de mot etc... etc...)
Oui, mais voilà, tout le monde n’est pas en vacance ! Afin que les privilégiés profitent de leurs congés (pas toujours mérités), les autres restent pour garder un navire qui n’est pas forcément de plaisance… On doit se taper les humeurs massacrantes des pauvres autres non-vacanciers, s’apitoyer sur les apéros manqués et les soldes supporter.
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits - Charles BaudelaireHolà, le spleen me guette…
Pfff été cruel...
Comme chaque année, je ne serai en vacances que mi-août et suis au supplice de voir partir tout le monde pendant que je travaille. Vous allez me dire que j’en profiterai alors qu’eux n'auront déjà plus que des souvenirs, oui, mais en attendant, je vire bredinne moi ! J’suis à deux doigts de faire n’importe quoi pour voyager…
Baluchon sur le dos...
Pire, j'entends de voix ! Vous allez me dire qu'on en a brûlé pour moins que ça, mais bon, j'avoue quand même... Maintenant, alors que je me saoule au café noir pour tromper mon ennui, voila que mon portable me fait des signes. Oui, oui, il a sa vie propre et tape parfois un peu ce qu'il veut (non mais, vous ne croyez tout de même pas que je suis coupable de toutes les fadaises qui se trouvent sur mon blog !) non content de ça, voila qu'il monte le son et se met à chanter.
Oui bon, comme dirait Papa, on verra...
Bye
2 commentaires -
Par Yentl le 14 Juin 2009 à 09:30
Papa, je me suis creusée pour trouver le cadeau adéquat mais que t’offrir ?
Tu n’as plus besoin de grand chose, plus de voiture, plus de vacance, plus de bricolage, plus de jardinage, plus vraiment de hobby à part la télé et quelques mots croisés (écrits suffisamment grands pour que tes yeux puissent encore les lire)
Après une vie aussi remplie de courage, de dévouement et de don de soi, tu as été ’’retrouvé’’ par l’âge et la maladie. C’est néanmoins une grande chance et un privilège qui me sont offerts par ta présence auprès de moi.
Même si maintenant c’est moi qui prends soin de toi, tu demeures malgré tout mon port d’attache ou ma bouée de sauvetage lorsque j’affronte (souvent) les grandes marées de ma vie. Tes conseils sont toujours aussi judicieux et ta bonne humeur aussi contagieuse.
Il nous reste les fous rires que nous partageons pour des bêtises, les souvenirs qui reviennent sans coup férir (ce qui faisait bondir Maman, des anecdotes, des joies, des peines aussi parfois) et nous nous rappelons souvent tout cela avec tendresse et nostalgie. De vraies bulles de partage…
Alors, même si je ne t’ai pas trouvé de cadeau très original, je voudrais, au moins, te faire ce petit compliment, un peu comme un retour à l’enfance :
"Dans mes yeux tu peux lire
Ce qui me fait plaisir
Sur mes lèvres tu peux lire
Ce qui me fait sourire
Et dans mon cœur tu peux lire
Ces trois mots qui veulent dire:
Je t'aime."
Bonne Fête Papa !Tu seras toujours un grand Monsieur !
Bonne Fête aussi aux autres Papas...
Bye
6 commentaires -
Par Yentl le 11 Juin 2009 à 16:32
En général, je n’apprécie pas vraiment les chaînes et autres mails à faire suivre sous peine de mille morts et autres plaies d’Egypte (tout bien réfléchi, va quand même falloir que je surveille ça : puisque je n’ai pas cassé de miroir ces derniers temps, d’où viennent donc mes soucis ???) Bref, en général, je jette systématiquement ces textos ou courriels sauf s’ils présentent de jolies images.
Hier soir pourtant, j’ai reçu un sms particulier… Dire qu’il m’a touché serait trop déprécier son effet, pire que si je regardais Bambi, Lassie ou Les oiseaux se cachent pour mouriren même temps ! Trop sensible m’allez-vous dire, ben vi, ça arrive quoi !
Je vous le livre donc :
’’J’ai un gros problème ! Je ne sais pas si je dois te mettre dans une banque parce que tu vaux beaucoup ou alors sur une île parce que tu es un trésor ou encore dans un musée parce que tu es très rare ! Je voulais juste te dire que je t’aime et que tu comptes beaucoup pour moi… Envoie ça à toutes les personnes que tu aimes amoureusement ou amicalement et à moi si j’en fais partie. Si cinq messages te reviennent, tu es indispensable !’’
D’accord, j’avais du manger trois kilos de Chamallows hier, mais ce sms m’a fait fondre et je me suis donc empressée de lui obéir… et, ô surprise, cinq me sont revenus. Tiens, juste cinq, pas un de plus ! Bizarre bizarre, comme c’est bizarre, vous avez dit bizarre ???
Faudrait étudier la probabilité de réception suivant le nombre d’envois, l’heure tardive, la pluie et l’âge du fournisseur d’accès… Surtout, demandons à Jean-Claude Van Damme ce qu’il en pense : ’’Selon les statistiques, il y a une personne sur cinq qui est déséquilibrée. S'il y a quatre personnes autour de toi et qu'elles te semblent normales, c'est pas bon.’’ Mais comme il le dit lui-même ’’La vérité sort de la bouche des enfants. Quand j'étais jeune, j'étais con. Je suis resté très jeune’’.
Allons bon, je viens de relire le texte, mais il me semble tout différent en plein jour…
Comme quoi, les réactions en chaîne peuvent altérer les choses.
’’J’suis dans la m… ! Je ne sais pas si je dois te mettre dans une banque pour me débarrasser de toi ou alors sur une île pour plus qu’tu fasses ch… l’peuple ou encore dans un musée parce que t’es un vieux clou ! Tu m'pompes l'air; oublie mon numéro !’’
Le premier rigole, je le mors !
Bye
4 commentaires -
Par Yentl le 7 Juin 2009 à 09:09
Aujourd'hui c'est à votre tour, je souhaite donc une
Très Bonne Fête à toutes les Mamans de France.
Avec une pensée plus particulière à Nathi...
Bonne Fête
Bisous
Bye
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